(Livre) Dark Ride de Ana Scott

Après un terrible événement, Cassandra n’a d’autre choix que de fuir Austin, la ville où elle a grandi, pour partir sur les traces de son passé.
Aaron Travis est un biker, vice-président des BlackAngels, l’une des branches des OutlawsRiders, le plus gros moto club des États-Unis. Son univers se résume à ses affaires, son clan, ses frères et les filles faciles.
La première rencontre de Cassandra et Aaron, des années auparavant, les a tous les deux marqués à jamais. Le destin va les faire se retrouver…








Format : Format Kindle
Taille du fichier : 2441 KB
Nombre de pages de l'édition imprimée : 335 pages
Editeur : Addictives - Luv (10 juillet 2018)

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Cassandra décide de fuir le domicile familial après un terrible évènement. En chemin, elle fait la connaissance d'Aaron, un jeune homme, biker, vice-président des BlackAngels, l’une des branches des OutlawsRiders. Peut-elle lui faire confiance ?

Cassandra n'en pouvait plus de vivre auprès de son beau-père et de sa mère surtout après le traumatisme qu'elle a vécu. Décidant de rejoindre son père, elle fait la connaissance d'Aaron, qui lui rappelle quelqu'un. Elle ne s'attendait pas non plus à être catapulté au sein du clan les AngelWings, un club de motards, dont elle ne connaît rien. Son père, l'aidera-t-il ? Qui est vraiment Aaron ?

Aaron est le vice-président des AngelWings, cette vie lui conviens, seule, les fêtes, les filles, ses frères sur qui il peut compter sont essentiel à sa vie. Lorsque Cassie entre dans sa vie, cette dernière le bouleverse bien plus qu'il le pense. Lui qui pensé tout avoir prend conscience que non, se laissera-t-il aller à son attirance pour Cassandra ?

J'ai adoré les deux personnages principaux, elle se montre forte, déterminé et mature face à tout ce qu'elle a subi et subi encore, au fils des pages elle devient une jeune femme heureuse et épanouie. Notre héros, lui a tous du mauvais garçon que les filles devraient fuir, mais au contact de Cassandra, même s'il reste un biker pure et dure, se métamorphose en un homme amoureux et prêt à tous pour celle qu'il aime.

Une très belle histoire d'amour sur fond de guerre des gangs et où le passé fait surface et rendant l'histoire encore plus stupéfiante, palpitante, étonnante et vraiment magnifique, aucun temps mort pour les Bikers qui doivent affronter avec encore plus de détermination leurs ennemis. J'ai passé un très très bon moment en leur compagnie et franchement ce couple m'a séduite et charmé à tel point que c'est un coup de cœur pour eux.



Elle l’obsède, il la veut, mais elle est intouchable…

***
– Quand je bois, je deviens chiant et con, déclare Aaron.
Je retiens un sourire.
– Tu veux dire : plus que d’habitude ?
– C’est ça, princesse, fous-toi de ma gueule.
Il s’approche dangereusement, franchissant les mètres qui nous séparent pour souder son corps au mien.
– Le pire, quand j’ai trop bu, tu sais ce que c’est ?
Il caresse ma joue, mais retire sa main si vivement que j’ai l’impression d’avoir imaginé ce geste. Je ne peux détacher mon regard de son visage, diablement viril, de ses lèvres charnues, si proches de ma peau. Son souffle est un subtil mélange de cigarette et de whisky. J’en ai le tournis. Je ne pensais pas, de ma vie, être attirée par de tels effluves, mais le fait est là : je suis subjuguée, presque hypnotisée par son attitude conquérante, ses yeux ravageurs, enflammés de désir.
– Non, je ne sais pas, soufflé-je d’une toute petite voix en me reculant contre le mur, mon cœur ayant décidé de me torturer, d’arrêter sa course, pour s’effondrer à mes pieds, ou devant les siens.
Il s’approche un peu plus, caresse mon cou, ma nuque, me faisant frissonner.
– J’ai une furieuse envie de baiser. Et là, maintenant, c’est de toi que j’ai envie.
Hein ?
Il est si près qu’il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Il suffirait qu’il dévie un peu la tête pour que nos lèvres se touchent. Son odeur m’envahit, déclenche quelque chose de primaire au fond de mon corps, quelque chose que je ne contrôle pas, que je ne comprends pas, mais qui me remplit de crainte. Lorsqu’il se recule brutalement, me privant de son soutien, j’ai le sentiment de perdre pied, de tomber, de m’écrouler pour dévaler l’escalier.
– Ta place n’est pas ici, princesse, lance-t-il. Tu devrais retourner d’où tu viens.